La nouvelle Marianne est arrivée !...
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« L’Algérie de Philippe Zoummeroff » : au musée de la Poste de Paris, se tenait la passionnante rétrospective de la plus grande collection jamais réalisée sur le thème de l’Algérie. Collection restée intacte grâce à une dation (règlement de succession) effectuée au profit intégral du musée. Timbroscopie a demandé à l’auteur de cette œuvre monumentale de
Au sortir de la guerre d’Indochine, la France n’a pas le temps de se réveiller puisque le 1er novembre 1954, plus de soixante dix attentats éclatent sur le territoire algérien. C’est ce que l’on appellera la « Toussaint Rouge » qui marquera le début de la rébellion. C’est plus la surprise qui marqua les esprits que les
Timbres magazine n° 35 – mai 2003 Curieusement, c’est au moment même où les tout premiers timbres d’Algérie fêtent leurs trente années d’existence que la métropole envisage leur disparition. Une décision éminemment politique bien sûr, qui demandera toutefois moins de temps pour être réalisée que celle qui a abouti à leur naissance. Nous sommes en
Timbres magazine n° 34 – Avril 2003 Pour de nombreux philatélistes, la très populaire collection des timbres d’Algérie commence en 1924 même s’ils savent que ce sont des timbres de métropole qui ont été utilisés auparavant. Pourquoi cette exception ? Pourquoi l’Algérie n’a-t-elle pas suivi le même cursus que les autres colonies ? La réponse,
Timbres magazine n°27 – Septembre 2002 Relativement recherchée aujourd’hui, la série du Centenaire ne cote que 140 euros. Destinée aux collectionneurs, elle n’a pour ainsi dire pas du tout servie sur le courrier. Cette déficience postale semble encore lui coller au dos, plus de 70 ans après. Cela semble injuste d’autant plus que certaines émissions
Une réussite esthétique qui mérite beaucoup mieux Relativement recherchée aujourd’hui, la série du Centenaire ne cote que 140 euros. Destinée aux collectionneurs, elle n’a pour ainsi dire pas du tout servi sur le courrier. Cette déficience postale semble encore lui coller au dos, plus de 70 ans après. Cela semble injuste d’autant plus que certaines
Curieusement, c’est au moment même où les tout premiers timbres d’Algérie fêtent leurs trente années d’existence que la métropole envisage leur disparition. Une décision éminemment politique bien sûr, qui demandera toutefois moins de temps pour être réalisée que celle -nous l’avons racontée dans notre précédent numéro qui a abouti à leur naissance PDF 5 pages